Une dimension plastique très forte

Une dimension plastique très forte

Focus sur un projet d’extension d’une maison unifamiliale à Luxembourg, celle de la famille Stein.

Quels enseignements tirez-vous de votre expérience en tant que maître d’ouvrage ?

Sans architecte, pas de salut. Pour l’extension, nous avons décidé de prendre le même architecte qui a conçu la maison il y a 20 ans. Nous ne le regrettons pas.

Si vous deviez recommencer, que feriez-vous différemment aujourd’hui ?

La coordination des contacts maître d’ouvrage-architecte, architecte-corps de métiers et maître d’ouvrage-corps de métiers, qui incombe à notre avis à l’architecte, a été négligée. Nous aurions impliqué davantage les corps de métiers dans la phase de conception, ce qui, à notre avis, aurait réduit sensiblement les coûts.

Qu’avez-vous appris durant la conception et la réalisation de votre projet ?

La conception était un rêve fantastique, la réalisation nous a réveillés peu à peu.

Comment s’est passée votre collaboration avec l’équipe des concepteurs ?

La collaboration était parfaite, le dialogue était à haut niveau. Nos attentes sur le plan esthétique et fonctionnel ont été réalisées par les concepteurs à notre totale satisfaction. Mais les délais, à cause d’une coordination du chantier perfectible, n’ont pas été respectés.

COMMENTAIRE DU JURY

Cette petite extension a une dimension plastique très forte. Le béton brut, par son traitement architectonique, se conjugue très bien avec son environnement. Les proportions sont très justes et le traitement paysager simple est ici très efficace. C’est aussi un des rares petits projets présentés (extension de 80 m2).

Source : OAI

Source : NEOMAG#15
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Publié le vendredi 7 septembre 2018
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