AQUABION®, testé et approuvé (1/6)

AQUABION®, testé et approuvé (1/6)

L’alternative écologique pour traiter le calcaire et la corrosion fait, depuis 15 ans, de plus en plus d’adeptes au Luxembourg que ce soit parmi les installateurs, les institutions ou les particuliers. En plus d’être sans entretien, sans sel, sans consommation énergétique et sans rejet d’eau de régénération, AQUABION® est adaptée à tous types d’infrastructures, de la maison individuelle au réseau public.

Premier témoignage d’une série de six, celui de Gilles Christnach, CO et CEO de betic ingénieurs-conseils, qui a opté pour AQUABION® pour sa propre maison. C’est en tant que particulier qu’il nous livre ses impressions un peu plus d’un an après avoir installé cette solution :

« J’ai installé le système AQUABION® chez moi en février 2019. En amont, un mini questionnaire m’a été transmis et a permis de définir un débit de pointe théorique et de sélectionner ainsi le bon calibre du système.

L’équipement a ensuite été mis en place par un installateur agréé pour garantir le respect des consignes de montage, comme la présence d’éventuels champs magnétiques qui peuvent influer sur le système ou encore le tracé qui permet un écoulement laminaire.

Rapidement, nous avons constaté une plus grande accumulation de calcaire sur les parois de douche, sur les autres surfaces miroitées de la maison, ou par exemple dans le réservoir d’eau de la machine à café, mais celui-ci se nettoie beaucoup plus facilement qu’avant, confirmant le changement moléculaire du calcaire dans l’eau. Très factuellement, le dépôt s’enlève donc plus aisément avec même, sur certains appareils comme notre bouilloire, une action autonettoyante.

Habitant une maison basse énergie avec ma femme et mes deux filles, l’eau chaude représente près de la moitié de notre consommation en énergie. Je suis donc maintenant impatient de comparer nos bilans de consommation sur les deux prochaines années pour voir quels sont les effets d’AQUABION® sur l’échangeur du préparateur d’eau chaude sanitaire ».

Copyright photo : Marie-De-Decker

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Publié le lundi 18 mai 2020
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