Le cerveau peut évoluer et son environnement est fondamental

Le cerveau peut évoluer et son environnement est fondamental

La neuroscientifique et Speaker Ted Baronne Greenfield impressionne l’audience au sommet inaugural de KPMG Luxembourg sur la diversité homme-femme.

Le cerveau peut évoluer et son environnement est fondamental : deux messages que résume la Baronne Susan Greenfield, neuroscientifique, auteur et productrice, dans son allocution où elle explore l’esprit féminin et masculin dans le monde des entreprises. Ce 25 février, près de 150 auditeurs attentifs se sont réunis au siège de KPMG Luxembourg – 39 JFK – afin d’entendre la vision charismatique, franche et scientifique sur le genre et le bien-être au travail lors du sommet inaugural de KPMG Luxembourg sur la diversité homme-femme.

“Savoir comment capitaliser sur les différences est un élément clé”

La Baronne – membre de la Chambre des Lords et fondatrice d’une société biotechnologique qui développe un médicament contre Alzheimer – a expliqué comment les connections qui s’établissent dans le cerveau au cours du développement humain depuis sa naissance ont un impact plus important sur la différenciation des sexes que les gènes ou la « nature ». Elle a poursuivi son analyse en démontrant la façon dont le cerveau peut être câblé et comment les états d’esprits peuvent être modifiés – et ce uniquement dans un environnement suffisamment bon, où il est possible de capitaliser sur les différences et que celles-ci sont « célébrées et exploitées, et non pas déniées ».

Tenu sous le patronage du Ministère de l’Egalité des Chances, le Sommet sur la Diversité Homme-Femme était modéré par Michael Stuber, Gourou de la Diversité en Allemagne, et était composé de plusieurs interventions et de trois tables rondes qui traitaient de l’importance de la diversité homme-femme dans le monde des affaires.

« Diversité homme-femme : l’une des priorités majeure pour KPMG Luxembourg »

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Georges Bock, Président de KPMG Luxembourg, Mélanie Richards, KPMG UK et Alison Macleod, KPMG Luxembourg, ont insisté sur le fait que la diversité homme-femme était « l’une des 10 priorités pour KPMG Luxembourg ». Avec plus de 23% d’associés de sexe féminin et 47% de femmes directrices, Georges Bock a déclaré que KPMG Luxembourg était déjà sur la bonne voie vers la parité homme-femme avec un développement de plus en plus équilibrée au niveau du management. Ayant signé la Charte de la Diversité et la Charte de l’ABBL, KPMG Luxembourg souligne d’avantage son engagement pour un environnement de travail équilibré. 

Pas besoin de quotas, disent les représentants de l’industrie

Vifs débats autour de la nécessité d’avoir des quotas de femmes dans les postes dirigeants, et discussions autour des perceptions actuelles sur la question des genres, voici ce à quoi ont assisté les participants pendant le panel composé Robert Dennewald (FEDIL), Françoise Thoma (BCEE) et Marie-Hélène Massard (AXA). L’avis général est que l’application obligatoire de quotas ne devrait pas être mise en œuvre, car cette mesure est contreproductive envers l’idée de récompenser la réussite pour les deux genres.

Nancy Thomas Bastien (IMS), Jean-Etienne Griesbeck (Carvivo) et Gabriela Tennhard (KPMG Luxembourg) ont également discuté des possibilités que les nouvelles technologies peuvent offrir aux générations du futur en soutien à la question de la diversité homme-femme. 

Communiqué par KPMG Luxembourg

 

 

 

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Publié le mardi 3 mars 2015
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